Une ombre
sombre
dans
l’océan des silhouettes
dont les
vagues couleurs ambre
déchaînent
la passion des bêtes.
Frôle ma
main,
la caresse,
puis se
redresse.
Mon visage
sans trace.
La démarche droite
glisse à travers un défilé de corps
protégés du dehors
frustrés et froissés dans le remords.
protégés du dehors
frustrés et froissés dans le remords.
Un souffle au cou, une mort étouffante entraînent, dans leur chute,
un semblant d’épouvante.
un semblant d’épouvante.
Ambition
choquante,
Trouée
provocante. Un râle
qu’il
exhale.
Mes doigts refermés dans l’émoi
s’ouvrent sous l’emprise et me
grisent.
Le voilà qui vise,
Le voilà qui vise,
Je
perds
prise.
No hay comentarios:
Publicar un comentario
A vous de jouer... Les dés sont jetés.