It’s raining,
no sun,
no moon,
just rain.
Tip tap, tip tap
on the grey ground.
No sky.
I can’t stop tap dancing.
One step, drums.
Two steps, tam-tam.
Three steps, bongo.
BINGO!
La Parole J’ai la beauté facile et c’est heureux. Je glisse sur les toits des vents Je glisse sur le toit des mers Je suis devenue sentimentale Je ne connais plus le conducteur Je ne bouge plus soie sur les glaces Je suis malade fleurs et cailloux J’aime le plus chinois aux nues J’aime la plus nue aux écarts d’oiseau Je suis vieille mais ici je suis belle Et l’ombre qui descend des fenêtres profondes Epargne chaque soir le coeur noir de mes yeux. Paul Eluard, Capitale de la douleur, 1923
Permitidme un
inciso sobre otra experiencia análoga, o tal vez precursora, antes de entrar en
detalles. Recuerdo hace años que para divertirnos un amigo y yo nos pusimos a
fotocopiar partes de nuestros cuerpos. Un juego como otro. ¡Lo que no sabíamos
en aquel entonces es que otros estaban preparando el terreno de la realidad
estereoscópica! Estoy convencida de que mi amigo guardó aquellas copias
bidimensionales de nuestros cuerpos tridimensionales.
Niebla de amoríos
Las palabras
rellenan silencios distantes. Nace la incierta cercanía, altiva por arrojar
paralelos irreconciliables, que se agota en el contacto tenue, leve ajuste con
la carne firme.
La Lune
baigne notre orange de blanc et de noir. Noir insondable, négritude d’ébène,
miroitement de jais, matière qui nous fuit, passant à la trappe. Esquive du
paradoxe, fugace, en cavale… Escapade, panique, sauve-qui-peut. La collision
dans l’espace, destruction du miroir de l’esprit, de la substance qui dit
« non ! », niée, inscrite en faux. Image spéculaire détournée,
retournée, renversée, sens dessus dessous, éversée, sapée, détrônée. Le blanc
conquérant dominateur du noir terrassé. Éclipse d’une lune abondante ballottée
comme un radeau sous les flots déchaînés de la science.Ecrivons sur la page Pendant que la mer dégage Si la mère enrage Elle effacera toutes les pages