La Parole J’ai la beauté facile et c’est heureux. Je glisse sur les toits des vents Je glisse sur le toit des mers Je suis devenue sentimentale Je ne connais plus le conducteur Je ne bouge plus soie sur les glaces Je suis malade fleurs et cailloux J’aime le plus chinois aux nues J’aime la plus nue aux écarts d’oiseau Je suis vieille mais ici je suis belle Et l’ombre qui descend des fenêtres profondes Epargne chaque soir le coeur noir de mes yeux. Paul Eluard, Capitale de la douleur, 1923
miércoles, 24 de septiembre de 2014
Prejudice
Il y a les préjugés
Puis les juges et les prés,
Viennent ensuite les stéréotypes
Les femmes et les sales types ?
Si j'ose et j'offense
Je perds pied et ma défense
Alors sans vouloir creuser le fossé
Je pioche, j'excave, je m'en fiche et m'affiche
Non pas à nu, comme un champ que je défriche,
Mais bien à la vue des esprits osés
Statut tributaire de l'Humanité
Etat primaire de la cruauté.
Sous le joug qui s'effarouche de la souveraineté
De l'un sur l'une, Reine de Beauté.
Les filles rêvent de princesses
Je le confesse : il faut que cela cesse !
Rose et bleu irréconciliables et antagonistes
Esclaves d'un marché propagandiste.
Suscribirse a:
Enviar comentarios (Atom)
La louve
Ecrivons sur la page Pendant que la mer dégage Si la mère enrage Elle effacera toutes les pages
-
Silencio espeso como la espera del cadalso. El grito del gallo rompe la oscuridad de una noche sin sueño. Dolor disimulado Memoria d...
-
Con tus ojos aún velados de sueño Y tu sonrisa blanca de nácar risueño Nace la dulce luz de un día de ensueño
-
Nebulosa flamenca en unos jardines de temple y arte granaínos Sillas con duende, dedos de marfil dorados por el sol que te...
No hay comentarios:
Publicar un comentario
A vous de jouer... Les dés sont jetés.