viernes, 13 de septiembre de 2013

À toute les femmes qui souffrent de la lâcheté des hommes...


furtives ondées d'un mois d'été
Qui crépitent telles les pépites dorées
D'une soirée arrosée d'étoiles dévoilées.

Captives et blessées de retour d'une guerre acharnée,
Les eaux bleutées soufflent vagues et marées
Crachant le sang révolté de déchets abandonnés.

Réceptives ondes derramées sur une plage enchantée
Sirènes des marins déchantés déchaînent des passions survoltées.
Et réveillent délibérément par leur chants magnifiés pudeurs estompées.

Craintives voix d'une conscience échouée
Entonnent en canon la diversion dépouillée
Des sens émerveillés par la chair rosée.

Pensive, je m'ouvre au béant d'une image à la dérive,
Tu t'emportes et m'emporte -mais qu'importe- je suis ivre
De tes lèvres, pulpe nacrée, me voilà libre !

1 comentario:

  1. Todo viejo amor es un recuerdo agradable mientras no interviene la persona que lo inspiró.
    Memoria que se hace de una cosa pasada. La memoria humana es la función cerebral resultado de conexiones sinápticas entre neuronas mediante la que el ser humano puede retener experiencias pasadas, es decir, retener un recuerdo.
    No se acaba el amor solo con decir adiós, hay que tener presente que el estar ausente no anula el recuerdo, ni compra el olvido, ni nos borra del mapa.
    En todo el monte hierbas nuevas reflejan el sol naciente.

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A vous de jouer... Les dés sont jetés.

La louve

Ecrivons sur la page Pendant que la mer dégage Si la mère enrage Elle effacera toutes les pages