La soga se balancea
Nudo marino y marea.
Pajarita lleva.
La Parole J’ai la beauté facile et c’est heureux. Je glisse sur les toits des vents Je glisse sur le toit des mers Je suis devenue sentimentale Je ne connais plus le conducteur Je ne bouge plus soie sur les glaces Je suis malade fleurs et cailloux J’aime le plus chinois aux nues J’aime la plus nue aux écarts d’oiseau Je suis vieille mais ici je suis belle Et l’ombre qui descend des fenêtres profondes Epargne chaque soir le coeur noir de mes yeux. Paul Eluard, Capitale de la douleur, 1923
viernes, 17 de marzo de 2017
Suscribirse a:
Enviar comentarios (Atom)
La louve
Ecrivons sur la page Pendant que la mer dégage Si la mère enrage Elle effacera toutes les pages
-
Silencio espeso como la espera del cadalso. El grito del gallo rompe la oscuridad de una noche sin sueño. Dolor disimulado Memoria d...
-
Con tus ojos aún velados de sueño Y tu sonrisa blanca de nácar risueño Nace la dulce luz de un día de ensueño
-
Nebulosa flamenca en unos jardines de temple y arte granaínos Sillas con duende, dedos de marfil dorados por el sol que te...
No hay comentarios:
Publicar un comentario
A vous de jouer... Les dés sont jetés.