La vision rectiligne
Rend la convexité linéaire
La rondeur la plus indigne
S'indigne de ta ferveur imaginaire
Là où le carré de complexité éphémère
Tempère la courbe carrément adroite de tes congénères.
La Parole J’ai la beauté facile et c’est heureux. Je glisse sur les toits des vents Je glisse sur le toit des mers Je suis devenue sentimentale Je ne connais plus le conducteur Je ne bouge plus soie sur les glaces Je suis malade fleurs et cailloux J’aime le plus chinois aux nues J’aime la plus nue aux écarts d’oiseau Je suis vieille mais ici je suis belle Et l’ombre qui descend des fenêtres profondes Epargne chaque soir le coeur noir de mes yeux. Paul Eluard, Capitale de la douleur, 1923
domingo, 24 de enero de 2016
viernes, 22 de enero de 2016
Do ré mi fa sol la si do...
Notes, noires et pointues
Pattes du soir velues
Saveur caramel, touches crochues...
Tes lèvres ! de pétales charnues
inondent le sable des étendues
A tes pieds, la plage d'un enfer encore inconnu
Pattes du soir velues
Saveur caramel, touches crochues...
Tes lèvres ! de pétales charnues
inondent le sable des étendues
A tes pieds, la plage d'un enfer encore inconnu
miércoles, 20 de enero de 2016
Natural fashion designer
El horizonte fijo y tajante
Divide el agua y el aire
Las gaviotas, con sus aleteos, los hilvanan.
Divide el agua y el aire
Las gaviotas, con sus aleteos, los hilvanan.
lunes, 18 de enero de 2016
Divorce à l'amiable
Je t'aime, tu m'emmènes, ils sèment au gré du vent...
Je t'aide, tu plaides, nous ? à la racine carrée du temps...
Je mène, tu te démènes, à nous deux ! Tu m'attends ?
J'égrène, tu me ramènes, toi et moi ? Non ! Va-t'en !
J'espère, tu te désespères, langue de vipère, à fleurets mouchetés !
Je te vénère, tu es vénère, je fais mouche, à toi de t'effacer ?
Je m'exerce, tu m'exaspères, prise de fer, coup fourré !
Je gère, tu digères, à riposte composée, va rendre ton épée !
Je m'émeus, tu m'en veux, pas de deux sans aveux, dégaine !
J'en veux plus, tu refuses, les coups fusent, attaque de haine.
Je m'offense, ta défense, contre-temps, corps à corps, je m'entraîne.
Je te dévore, tu m'adores, je fais mouche, sainte Nitouche, tu rengaines.
Je m'esquive, tu dérives, ivre mort, escarmouche... touché !
Je t'évite, tu t'effrites, une-deux, virevolte, volte-face, j'ai gagné !
Je tire, tu t'écries : à l'attaque ! Indirecte, je rouspète, te voilà désarmé !
Je m'en ivre, tu te livres, à la défensive ? j'applaudis, et toi... tu me maudis.
Je t'aide, tu plaides, nous ? à la racine carrée du temps...
Je mène, tu te démènes, à nous deux ! Tu m'attends ?
J'égrène, tu me ramènes, toi et moi ? Non ! Va-t'en !
J'espère, tu te désespères, langue de vipère, à fleurets mouchetés !
Je te vénère, tu es vénère, je fais mouche, à toi de t'effacer ?
Je m'exerce, tu m'exaspères, prise de fer, coup fourré !
Je gère, tu digères, à riposte composée, va rendre ton épée !
Je m'émeus, tu m'en veux, pas de deux sans aveux, dégaine !
J'en veux plus, tu refuses, les coups fusent, attaque de haine.
Je m'offense, ta défense, contre-temps, corps à corps, je m'entraîne.
Je te dévore, tu m'adores, je fais mouche, sainte Nitouche, tu rengaines.
Je m'esquive, tu dérives, ivre mort, escarmouche... touché !
Je t'évite, tu t'effrites, une-deux, virevolte, volte-face, j'ai gagné !
Je tire, tu t'écries : à l'attaque ! Indirecte, je rouspète, te voilà désarmé !
Je m'en ivre, tu te livres, à la défensive ? j'applaudis, et toi... tu me maudis.
domingo, 10 de enero de 2016
La mar bella
El toque intenso del dolor
aúna pasiones sofisticadas y rotundas
en el palacio desasogado por el temblor
de los pasos ofensivos, tú, con mirada iracunda,
modulación de tonos eclécticos
en un espacio depurado
y fisurado por el tiempo tríptico
que se mide y compite con vacíos estampados.
Andaluz, con personalidad y frescura,
recorres los pasillos de mi locura
con solera audaz de dinámica cordura
acechando por la ventana del alma la lejanía insegura.
aúna pasiones sofisticadas y rotundas
en el palacio desasogado por el temblor
de los pasos ofensivos, tú, con mirada iracunda,
modulación de tonos eclécticos
en un espacio depurado
y fisurado por el tiempo tríptico
que se mide y compite con vacíos estampados.
Andaluz, con personalidad y frescura,
recorres los pasillos de mi locura
con solera audaz de dinámica cordura
acechando por la ventana del alma la lejanía insegura.
sábado, 9 de enero de 2016
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